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Mais ce terme même pose problème. Il s'agit en fait d'esclaves sexuelles de l'armée japonaise. On peut d'ailleurs reprocher à l'éditeur français de ce livre de ne pas avoir conservé le titre original et d'utiliser celui de Femmes de réconfort.
L'une des victimes, une Néerlandaise, écrit ainsi : "Plus que tout je refuse catégoriquement le terme de "femme de réconfort" puisqu'il signifie quelque chose de chaleureux et doux".
Il s'agit donc de prostitution forcée, de viol et d'esclavage et les responsables japonais ont été jugés pour ces crimes au procès de Tokyo de 1946.
L'une des victimes, une Néerlandaise, écrit ainsi : "Plus que tout je refuse catégoriquement le terme de "femme de réconfort" puisqu'il signifie quelque chose de chaleureux et doux".
Il s'agit donc de prostitution forcée, de viol et d'esclavage et les responsables japonais ont été jugés pour ces crimes au procès de Tokyo de 1946.
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